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mercredi 29 mai 2013

Le Dernier Homme de Fukushima; Arlit, RoundUp, Monsanto...

Antonio Pagnotta nous fait découvrir "Le Dernier Homme de Fukushima Celui qui, contre tous les risques d'exposition à la radioactivité, a décidé de vivre sur ses terres et de consacrer son temps aux animaux abandonnés de la zone interdite.
Antonio Pagnotta nous présente NOATO MATSUMURA, l'homme césium, l'hibakusha, l'irradié... mais l'Homme debout, celui qui résiste, qui fait face à la Tepco...



Se confiner ou fuir, Naotto a choisi la troisième voie : rester malgré les radiations mortelles...
Serons demain des Naotto Matsumura lorsque l'improbable se produira chez nous...



Filière nucléaire, de l'extraction des minerais au retraitement des déchets, cette filière ne sème que guerre et désolation. Guerre au Mali, au Niger, occupation militaire pour protéger nos exactions, pour se procurer à bon compte les combustibles nécessaires au bon fonctionnement de nos centrales… Désolation des sites post-catastrophes nucléaires... Filière du passé pour des suites sans fin, des suites environnementale, économiques, écologique... pour un plaisir éphémère...

"Quand ils attaquent Arlit, c'est vraiment comme s'ils attaquaient la France. Encore une fois parce qu'Arlit c'est quelque part la France...


Le monde en marcheContre Monsanto, contre les OGM, contre le Roundup


Le Jardin de familles à Colomiers s'agrandit De nouvelles parcelles aménagées et disponibles pour les jardiniers amateurs D'En Jacca...



Nourrir les plantes ou nourrir le sol : deux démarches fondamentalement différentes. La première aboutie toujours à la destruction de l'humus et à la production de plantes malades. C'est le choix de l'agriculture industrielle...



Nourrir le sol, c'est l'assurance de respecter le sol, de respecter l'humus et de vivre en bonne entente avec la vie microbienne des sols. Tout cela pour le plus grand bien apporté au Complexe-Argilo-Humique nourricier des plantes...


mardi 21 mai 2013

Transition énergétique, suites sans fin à Fukushima

A l'heure du débat sur la transition énergétique, nous devons nous poser les bonnes questions sur notre mix énergétique actuel. Quelle énergie mettons nous en œuvre ? Quelle énergie consommons nous ? Quels impact ces sources d'énergie ont-elle sur notre environnement ? ... Ne pas se priver des bonnes questions...

Un débat sans tabou, un débat ou l'on aborderait la question du Nucléaire : Son prix réel, sa dangerosité, le démantèlement, les suites sans fin des catastrophes nucléaires quelles soient humaines, environnementales,économiques...

Etat de l'énergie en France en 2012 :
Consommation finale par type d’énergie (en Million de Tonne Equivalent Pétrole Mtep):
 charbon : 3% (5,6MTEP)
 Pétrole : 43% (77,8MTEP),
 Gaz : 21% (33,3MTEP),
 Electricité : 24% (37,1MTEP)( 22Mtep Nucléaire=15%),
 Renouvelables : 9% (14,3MTEP),
Total consommation finale : 168.1 Mtep (Dont 13 Mtep non énergétique)


Consommation finale par branche :
 Résidentiel-Tertiaire : 69 MTEP
 Transport (hors soute) : 50 MTEP
 Industries (hors sidérurgie) : 28 MTEP
 Sidérurgie : 5 MTEP
 Agriculture : 4 MTEP
Total énergétique : 156 Mtep (+13Mtep non énergétiques= 169/168.1))

 Non énergétique : 13 MTEP
 Branche Energie : 98 MTEP (dont 80 Mtep perdus dans la filière nucléaire...)
Total Primaire : 266 MTEP

Le nouveau mix énergétique doit tenir compte des Gisements provenant de l'Efficience Energétique de notre consommation.

...Production... transport... consommation...Les questions du Transport et du Chauffage doivent devenir la clef de voûte de notre réflexion...
Les économies dans le Résidentiel et le tertiaire sont possibles sur une échéance de 30 ou 40 ans : jusqu'à 45% d'économie suivant les scénarii proposés...
On ne parle jamais de la question du Transport.
Et pourtant : 50 Mtep sont consacrés aux transports.
45 Mtep sont issus de pétrole importé et sont brulés avec un rendement moyen de 15% dans des moteurs à explosion (donc une perte de 85% de l’énergie pétrole utilisée et hop 38 Mtep partent en chaleur et fumées polluantes).
Seuls 7 Mtep sont utiles aux roues
.
Peut-on reconsidérer cette question ?

Parlons Véhicules électriques : En France, si la totalité du parc automobile (environ 36 millions début 2012) était électrique, il faudrait construire, selon les sources, entre 10 et 20 centrales nucléaires supplémentaires. Selon Hervé Nifenecker, président d'honneur de l'association Sauvons le climat, une première tranche de 10 millions de voitures nécessiterait la production de seulement deux centrales EPR72…
Et si c’était FAUX !!!



Imaginons une autre hypothèse :
En France, si la totalité du parc automobile (environ 36 millions début 2012) était électrique, il serait possible de réorienter l’énergie fossile non engloutie par les moteurs thermiques vers des centrales thermiques en cycle combiné à cogénération avec un rendement de 60% pour la production électrique, plus des rendements thermiques en cogénération de l’ordre de 25% soit un rendement global possible de 85%, tout en améliorant notre impact sur l’environnement en améliorant la filtration des fumées… ce que nos pots d’échappement ne ferons jamais… : les 45 Mtep gaspillés dans nos moteurs à explosion pourrait produire 27 Mtep sous forme d'électricité plus 11 Mtep sous forme de chaleur utilisable en réseau soit 38 Mtep utilisable au lieu des 7 Mtep fourni par les moteurs à explosion.
10 Mtep serait consacré pour le parc de véhicules électriques, le reste pour arrêter par exemple la production nucléaire sans augmenter nos importations d'énergie fossile.


Osons le transport électrique, le potentiel d'amélioration des moteurs électriques et des stockages et vecteurs d'énergie sont un challenge...cf l'énergie à découvert cnrs édition.
Les suites sans fins à Fukushima


Vers une sortie du nucléaire ? Centrales américaines et japonaises définitivement stoppées ou abandonnées pour des raisons économiques et techniques... 4 projets de nouveaux réacteurs électronucléaires ont été retoqués ou abandonnés alors que les 2 réacteurs endommagés de San Onofre ainsi que le réacteur unique de Crystal River sont désormais officiellement en sursis, les opérateurs respectifs ayant déclaré vouloir les arrêter définitivement, les jugeant trop chers à réparer.

Au Japon, l'unité 2 de la centrale nucléaire de Tsuruga "a été officiellement reconnue comme étant près d'une faille active , ce qui la rend inéligible pour fonctionner".
La NRA a également ordonné que le surgénérateur de Monju reste fermé pour une durée indéterminée, le temps pour s'occuper des questions de sécurité massives. Plus de 9800 violations sécurités ont été découvertes dans cette centrale nucléaire.

mercredi 15 mai 2013

Jardinez Bio

5000 Tonnes de pesticides dans les jardins français : Fatalité, nécessité... NON, Mach Bio vous propose "Le Printemps des Jardins" , "Le Printemps des Terres Arables" ,et de vous lancer dans le Jardinage Bio...
Le Jardin fin Mars, premières cultures...

Une terre bien nourrie est la base du jardinage bio.
Un bon mulch va nourrir votre terre et la protéger de la pluie et du soleil.

Le même rang de petits pois à travers le temps La couche de mulch ou de paillage empêche la levée des "mauvaises herbes", et votre jardin reste propre...

Dans quelques jours commencera le ramassage des petits pois...Sur cette terre pas d'engrais depuis 10ans, pas de produits de traitement, et pourtant les rendements s'améliorent année après année...

Le travail du sol doit respecter la vie du sol : vers de terre, bactérie, champignons...
Découvrez l'outil qui va respecter toute cette micro faune et cette microflore de votre jardin... La Grelinette ou ses multiples copies...

Un outil pour aérer votre sol sans le retourner pour que chaque chose reste à sa place...
Un sol bien nourri, bien aéré, c'est la garantie d'un bon humus...

En 2010, la terre était encore compact...
trois ans après, la terre se fractionne mieux. elle devient grumeuleuse...


En s'améliorant la structure du sol facilite le travail qui demande moins d'effort et devient plus rapide.
En 2006, la première année de jardinage, il me fallait 1h par m2, cette année, je prépare entre 5 et 10 m2 à l'heure...


Les suites sans fin à Fukushima

La lettre ouverte de Akio Matsumura au Secrétaire Général de l'ONU Ban Ki-moon.

30 avril 2013
Monsieur le Secrétaire Général,
Vous avez sans doute observé avec horreur et inquiétude la catastrophe qui a frappé Fukushima le 11 mars 2011. Quels effets cette nouvelle catastrophe nucléaire allait-elle avoir sur les relations interétatiques, surtout dans cette région d’Asie de l’Est dont vous êtes originaire ? Heureusement, semble t-il, les effets sont restés largement circonscrits aux îles du Japon et n’ont pas été aussi graves que ne s’y attendaient de nombreux experts. En quelques semaines, les articles se sont raréfiés, au point de quasiment disparaître des grands médias, ne laissant place qu’à des histoires personnelles présentant quelque héros ou quelque cas particulièrement tragique de la perte d’un être aimé.
Toutefois, la crise est loin d’être terminée. Aujourd’hui, dans le New York Times, Martin Fackler rapporte que de l’eau contaminée par la radioactivité fuit de partout et que le site est à nouveau en état d’urgence. Mitsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse, a écrit l’an dernier une lettre qui a attiré l’attention internationale sur les milliers de barres de combustible usagé entreposées sur le site et sur le danger soulevé par leur vulnérabilité. Il a témoigné à plusieurs reprises devant le parlement japonais. Des experts internationaux, indépendants aussi bien que membres de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), ont fait remarquer que les plans de la Compagnie d’électricité Tepco concernant l’enlèvement de ces barres et leur stockage dans un endroit plus sûr, mais provisoire, sont trop optimistes, pour ne pas dire irréalistes.
Les médias d’information ont fait un travail correct, quoiqu’un peu limité, pour présenter les nombreux problèmes posés par les barres de combustible. Le carburant radioactif doit être refroidi en permanence pour ne pas devenir dangereux ; le système électrique de fortune qui assure ce refroidissement est déjà plusieurs fois tombé en panne (une des pannes a duré plus de 24 heures), sans raison particulière ou parce qu’il avait été endommagé par des rats affamés. À la centrale de Fukushima Daiichi, le mécanisme qui fait la différence entre l’état de sûreté et l’incendie est, pour le moins, précaire. (De plus, comme beaucoup de gens l’ont compris depuis le début, TEPCO espère s’exonérer de ses responsabilités : premièrement pour ce qui est de la sûreté et de la maintenance du site ; deuxièmement pour éviter de payer ce qu’il doit au Japon.)
On ne peut que spéculer sur l’ampleur des conséquences que provoquerait un incendie du combustible usagé. Mais il est indéniable qu’une fois l’incendie déclenché (suite à un manque d’eau de refroidissement ou à une inondation due à un séisme), le scénario même le moins grave causerait une catastrophe mondiale sans précédent. Parmi les conséquences possibles, il faudrait envisager l’évacuation des 35 millions de Tokyoïtes et la contamination des cultures alimentaires américaines. De telles projections ne relèvent pas du domaine du fantastique, mais sont des prévisions tout à fait raisonnables, et même prudentes.
De façon inimaginable, mais hélas trop courante, la situation continue à être reléguée dans les dernières pages de nos journaux, ce qui permet à nos dirigeants de ne pas la voir comme une priorité. Cela me rappelle notre façon dont nous réfléchissons au niveau international aux solutions à apporter au changement climatique. Cela fait des dizaines d’années que je participe à ces discussions, d’abord au sein des Nations Unies, puis en tant que secrétaire-général du Sommet des parlementaires pour la planète Terre à Rio de Janeiro : nous sommes confrontés à un problème latent mais très grave que nous sommes probablement capables de résoudre, mais nous n’avons pas la résolution ni la volonté politique de le faire. Comme vous le savez, nous sommes passés à côté d’un accord efficace sur le changement climatique.
Par comparaison avec le changement climatique, la question des barres de combustible irradié à Fukushima est à la fois plus facile à résoudre et plus urgente. N’importe quel Japonais peut vous dire que le Japon subira un nouveau séisme important dans les dix années à venir. Autrement dit, la situation doit être résolue rapidement.
Cependant, même si elle peut être résolue, cette question requiert une attention constante et des acteurs compétents et bien financés. Mais alors, qui pourrait s’en charger ? L’Agence internationale de l’énergie atomique a reconnu la semaine dernière qu’il faudrait à TEPCO plus de 40 ans pour sécuriser les barres de combustible irradié dans des conteneurs de stockage plus appropriés. TEPCO refuse déjà de payer au Japon les milliards de yens dépensés pour la décontamination et ne dispose ni de la technologie ni des moyens nécessaires pour mener cette tâche de façon compétente et sans délai. Et pourtant, jusqu’à présent, le gouvernement japonais ne s’est adressé qu’à TEPCO.
Avec leur supériorité technologique, leur argent et leurs qualités de leaders, les États-Unis sont le choix le plus évident hors Japon [pour mener cette tâche à bien]. Peu de temps après la catastrophe, le ministère de la Défense américain a proposé son aide au Japon, mais les Japonais ont refusé. Reste à savoir si cette porte est définitivement fermée. Ce ne serait d’ailleurs pas une aide désintéressée, car les États-Unis ne sont pas à l’abri du danger si un incendie venait à se déclarer dans une des piscines. Les habitants des États de Californie, de l’Oregon et de Washington ont déjà reçu une bonne dose de radiation. Il est improbable que les États-Unis se lancent dans une action, sauf peut-être le sénateur de l’État de Washington, Ron Wyden. Les sénateurs et les députés américains continuent à faire la preuve de leur impuissance chez eux et à l’étranger.
Je plaide depuis longtemps pour la mise en place d’une équipe internationale d’experts indépendants qui examineraient la situation. Les Nations unies constituent une instance adéquate pour rassembler et élaborer cette équipe. L’AIEA, toutefois, ne devrait pas se charger de la tâche.
La mission de l’AIEA en effet est de promouvoir l’usage pacifique de l’énergie nucléaire. Les inquiétudes relatives à la prolifération n’ont pas cours ici et la catastrophe a sans aucun doute remis en question (une fois de plus) la signification de l’usage pacifique de l’atome et le bien-fondé de la promotion même de l’énergie nucléaire. L’agence a récemment appelé à améliorer la sécurité à Fukushima, mais la ligne officielle, aussi inacceptable et impossible que cela puisse sembler, reste de confier la procédure à TEPCO.
Nous ne sommes pas seulement en train d’attendre une catastrophe encore plus sévère ; nous en avons déjà une qui se déroule sous nos yeux. Les conséquences sanitaires de la radioactivité déjà émise sont graves : malgré ce que nous racontent la plupart des médias, nous allons être confrontés à une forte hausse des cancers de la thyroïde et d’autres formes de cancers au Japon dans quatre à cinq ans. Des malformations congénitales vont très probablement se produire. Les rapports prématurés de certaines agences de l’ONU et la presse dans son ensemble ont été irresponsables. N’avons-nous aucune notion de ce que signifie le « principe de précaution » ? Ces conséquences latentes vont ravager les jeunes générations japonaises dans les dix années à venir.
Notre aveuglement, au Japon et dans le reste du monde, est absolument tragique. Une petite lueur d’espoir a été apportée par le rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à la santé, Anand Grover, suite à sa mission d’enquête au Japon l’an dernier. J’espère que vous soutiendrez ses conclusions et que vous leur assurerez une large circulation.
Nous n’avons déjà que trop attendu, comme avec le changement climatique, pour agir au niveau international afin d’aider Fukushima. Aujourd’hui il est clair que nous ne pouvons pas laisser le Japon s’occuper [seul] d’un problème qui peut tous nous affecter.
Monsieur Ban Ki-moon, je vous supplie d’utiliser la position unique qui est la vôtre à la tête des Nations unies pour galvaniser la volonté politique et organiser une équipe d’évaluation indépendante de scientifiques et d’ingénieurs pour trouver une solution au problème des barres de combustible irradié de Fukushima, avant que nous ne soyons obligés de gérer les émissions radioactives d’une nouvelle catastrophe. Le Japon et le monde ne devraient pas avoir à souffrir encore davantage parce que nous avons choisi d’attendre.
Avec l’assurance de ma considération,
Akio Matsumura
- Ancien conseiller spécial, Programme des Nations Unies pour le développement
- Fondateur et secrétaire-général du Global Forum of Spiritual and Parliamentary Leaders for Human Survival [Forum mondial des dirigeants spirituels et parlementaires pour la survie de l’humanité]
- Secrétaire-général du Sommet des parlementaires pour la planète Terre à Rio de Janeiro en 1992

jeudi 9 mai 2013

27 bougies pour Tchernobyl

Les bougies, c'est pour le nucléaire.
C'est ce qu'il nous reste pour se rappeler de l'impact catastrophique des accidents nucléaires.
C'est, et pour longtemps encore, le seul lien qu'il restera entre le nucléaire et la bougie, qu'on se le dise.
Energie du passé, ce choix de production est inscrit dans nos mémoires pour les tristes conséquences des suites sans fin de la filière nucléaire.
Plus rien ne justifie le maintien de ce mode de production énergétique.
Sortir du nucléaire est une nécessité.
L'efficience énergétique, ou l’efficacité énergétique qui désigne l'état de fonctionnement d'un système pour lequel la consommation d’énergie est minimisée pour un service rendu identique est la porte de sortie immédiate du nucléaire.
Les énergies renouvelables seront la porte de sortie des énergies fossiles.



Les conséquences de la catastrophe de Tchernobyl ne sont pas finies. En France comme ailleurs, la trace du passage des nuages radioactifs n'est pas anodine. Et si la justice des hommes renâcle à établir les liens entre la santé et les irradiations, la nature elle continue de relâcher les radioéléments tombés au sol.
Combats d'experts, le nombre de tués par cette catastrophe est loin d'être définitif. Les plus réalistes approchent du million de morts...n'en déplaise au septiques...



Chaque année, des groupes d'enfants Ukrainiens viennent en vacances dans nos familles. Le simple fait de consommer des aliments non contaminés diminue à la fin de leur séjour leur charge radioactive. Comme quoi, manger radioactif est encore le quotidien des enfants ukrainien...



Le nucléaire mourra plus vite que prévu : partout à travers le monde le coût du nucléaire devient prohibitif, même sans accident... Les surcoût sont toujours à la charge des contribuables. Qui nous expliquera la part du nucléaire dans la dette française ? Qui se préoccupe de l'état des finances de EDF: l'état donne cinq milliards à EDF sans que les médias ne s'en émeuvent... un trou de 45 milliards à venir...



Va-t-on continuer à gaspiller 85% de l'énergie que nos voitures consomment. Les solutions pour sortir du nucléaire sont à portée du bon sens : sobriété, efficacité... posons les vrais chiffres sur la table...



Les suites sans fin à Fukushima et ailleurs...A Tchernobyl comme à Fukushima les suites sont sans fin...
Des territoires interdis pour longtemps.
Des irradiés par millions en Ukraine et au Japon...
Des risques insensés pour 2% de la production mondiale d'électricité... Sortons de ce mauvais rêve avant de vivre de nouveaux cauchemars...