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lundi 15 octobre 2012

Faut-il avoir peur de la voiture électrique ? Les suites sans fin à Fukushima

Les suites sont toujours sans fin à Fukushima et à venir en France.
Le black-out est instauré irrémédiablement : les webcams qui permettaient de suivre en temps continu accéléré les événements successifs sur place ne délivrent maintenant plus que des extrait sélectionnés réduits à quelques minutes par heure, et permet à la Tepco de supprimer de l’image tout les évènements suspects : secousses sismiques, incidents sur les bâtiments…
Les temps se durcissent pour les veilleurs de Fukushima qui resteront coûte que coûte vigilant…



Le salon de l'automobile à Paris, et la réalité désastreuse de l'effondrement du nombre d'immatriculation de voitures neuves sont l'occasion de faire le point sur l’évolution de la place de la voiture individuelle et de son avenir. Une chose est sûre, l’auto n’a plus le vent en poupe, malgré les milliards, des pigeons contribuables, déversés, tout comme aux banques, dans les poches de cette industrie.
Une mutation est en cours dans notre façon de consommer l’automobile, le secteur automobile devra le prendre en compte et afficher un peu de modestie.
Une autre mutation est en cours : faut-il avoir peur de la voiture thermique ou de la voiture électrique ?
Accepterons-nous longtemps encore les pollutions générées par les moteurs thermiques, et l’avenir est-il à la voiture électrique, et dans quelles conditions ?



Ce qui est une certitude, c'est que la voiture individuelle à moteur thermique est une source importante de pollution. 46 Millions de tonnes équivalent pétrole sont ainsi brulées dans nos moteurs, et 39 de ces Mtep s'envolent et se perdent en fumées chaudes et polluantes...



Toute cette énergie brulée dans des centrales thermiques permettrait de filtrer correctement les fumées de combustion, ce que ne fera jamais un filtre de pot d'échappement, d'envisager la captation et le recyclage du carbone et de nous fournir sous forme d'électricité, et de chaleur cogénérée et utilisable, environ 30 Mtep. 10 Mtep seront nécessaires à alimenter le parc routier converti à l'électricité, les 20 Mtep restant nous permettent de sortir immédiatement et sans condition du nucléaire.
Pour les bienfaits de notre santé et de la planète...


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